Dans un projet comme le notre, un des actes majeurs consiste en quitter son emploi actuel. Il matérialise en effet l’échéance prochaine du départ.
Personnellement, mon préavis est de trois mois. Ainsi, pour un décollage début Juin, et si l’on souhaite garder un peu de temps pour plier les gaules, il s’agirait de ne pas traîner. Raison pour laquelle j’ai remis récemment ma lettre de démission à mon employeur. Le départ de l’entreprise est prévu pour fin Avril, ce qui laisse un bon mois pour rendre l’appartement, bazarder les affaires, faire les valises.
Pour Nono, le préavis est de deux mois, donc c’est à faire dans pas si longtemps que cela non plus. Avant, il faudra donner congés de notre logement (3 mois de préavis également).
Sans grande animosité, je ne suis tout de même pas fâché de quitter mon emploi actuel. Une récente fusion a transformé de façon notable la philosophie de l’entreprise. Un peu d’air neuf me fera du bien.
Nous partons sans emplois à l’arrivée. Ça n’est, malgré tout, pas un problème car pour ma part je travaille dans un domaine où, globalement, il y a du boulot, tandis que Nono est prêt à faire autre chose que ce qu’il fait aujourd’hui (moi aussi du reste). Il n’est pas impossible que vous nous retrouviez à faire des crêpes à Montréal ou Québec, ou encore à couper du bois à la hache dans la forêt. Quoi-que, pour cette dernière option, je ne sois pas certain de savoir affûter une hache…