T’as beau avoir un peu de sous d’avance, c’est jamais inépuisable… Alors forcément, au bout d’un moment, il faut se remettre à travailler. Ca va quand même faire trois mois qu’on travaille plus, et on a claqué un mariage, un roadtrip, les meubles d’un appartement…
Dans mon métier, y’a un truc qui est bien, c’est que du boulot, y’en a. Et ça, à peu près partout dans le monde.
Alors, une ou deux mises à jour de mon profil LinkedIn, deux prises de contact initiées, et hop me voilà avec 4 employeurs différents qui s’intéressent à moi. Parmi ceux-ci, deux sociétés de conseil – j’en viens – et deux banques.
Une petite semaine d’entrevues, tous veulent de moi. Cool. Mais moi je fais le tri : les sociétés de conseil, j’en ai soupé. La première ressemble trop à des marchands de viande. La seconde m’a parut sympathique, nettement plus petite, à taille humaine. Mais le mandat pour lequel il me voulait a été comblé avant qu’ils n’aient le temps de me présenter.
Des deux banques, j’ai du relancer une ou deux fois la première, histoire de montrer mon intérêt et de ne pas faire traîner les choses. La seconde a mis plus d’un mois a me rappeler après que j’ai soumis ma candidature à l’une de leurs offres. Ils sont un peu trop long à mon goût.
La première m’a fait une offre, à la hauteur de mes attentes, accompagnée d’un package employé digne d’une banque : couverture médicale, retraite à montant garanti, gratuité de comptes et cartes, taux préférentiels… Je crois bien que je vais accepter…
congrats